Pattakou Eleni
peintre, graveur _ arrivée à la Scof en 2009
4,5 mai 2024 et sur rendez-vous
portes ouvertes d’atelier à Grigny – Rhône
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Exposition à l’atelier dans le cadre de MANIFESTAMPE
Artiste invitée : Michèle Costa
Biographie d’Eleni Pattakou
Acte I
Licence de Lettres à la faculté de Philologie d’Athènes.
Etudes de Beaux-Arts à Lyon et à Athènes.
Formation en dessins animés.
Maîtrise en gravure de l’École Supérieure des Beaux-Arts d’Athènes.
Acte II
Gravures et peintures en collections publiques et privées.
(Collections : Bibliothèque Nationale de France, Artothèque de Francheville (FR-69), ASKT d’Athènes, Fondation Renaud -Lyon, Artothèque GAC -Annonay, Métropole de Lyon …)
Gravures originales dans les livres : Frontière (édit. L’Empreinte, 2007), Le bestiaire (édit. L’Empreinte, 2003), La route (édit. Bachès, 2000), L’envol (édit L’E, 2017)
Encres pour le périodique la revue commune (n. 33, mars 2004).
Acte III
Expositions personnelles
2023 : Eglise de Bans – « Que le vent souffle… » – Givors (69)
2023 : Théâtre le Sémaphore – Irigny (69)
2022 : Galerie Espace liberté, Crest
2021 : Galerie Ories, Lyon
2020 : Théâtre le Sémaphore, Centre Culturel du Champvillard, Irigny (Rhône)
2019 : Maison de Pays, Mornant (Rhône)
2019 : Galerie L’oeil Ecoute, Lyon 5e
2018 : Galerie Ici on Donne des Pommes (IODDP) Lyon 5e
2016 : Résidence d’artiste, exposition festival Origines, Alboussière (Ardèche)
2016 : Galerie Test du Bailler, Vienne (Isère)
2015 : Prieuré de Charrière, Châteauneuf de Galaure (exposition municipale) (Drôme)
2014 : Rendez-vous à l’atelier (organisation Mapra-Rhône Alpes)
2014 : Invitée d’honneur du salon des peintres de Brignais, et de Grigny (Rhône)
2013 : Auberge des Arts de Givors (Rhône)
2012 : Association « Tallaron » (Rhône)
2011 : Centre de Formation CGT – « Benoît Frachon » – Courcelle sur Yvette (Région parisienne)
2010 : Auberge des Arts de Givors (Rhône)
2008 : Galerie « L’Usine », Lyon
2007 : INSA de Villeurbanne (Rhône).
2006 : Galerie Gérard Chomarat, Lyon.
2006 : Centre Culturel le Toboggan, Décines (Rhône).
1998 : Galerie « to ergostasio », Athènes. Graduating class ’98.
Principales expositions de groupe
2023 : Fondation Renaud – Fort de Vaise « Les femmes s’exposent »
2022: « Fragilité » galerie Ories, Lyon
2022 : « Vanités » galerie Ories, Lyon
2020 : « Avant la tempête » Biennale « Bâtie en Art », (Rhône)
2020 : Bella Z’art salon « Design center de Bastille », Paris
2018: Vernoux-en-Vivarais « La rencontre des artistes, édition 16e (Ardèche)
2018: Manifestampe, Exposition « les Habités » chez P. Durand, St Etienne
2018 : Festival « des hommes forts », A.des.arts, Givors
2016 : « La ville autrement », Fondation Renaud, Fort de Vaise, Lyon
2015: La grande expo à Beynost (Ain)
2014 : Invitée d’honneur, Grigny, exposition de l’amicale laïque
2011 : Salon : Regain, Lyon
2011 : Inauguration de la Scof-cité d’artistes, Rhône
2009 : Docks Art Fair. Lyon – Communauté Hellenique
2008 : Technopolis – Gazi. Athènes. Panorama de la gravure grecque contemporaine.
2008 : Grand Palais. Paris. Salon – Comparaisons.
2007 : Salon de Lyon et Sud-Est – Lyon.
2007 : Site du Château de Rochebonne – Theizé en Beaujolais. Aujourd’hui l’estampe.
2007 : Ville de Grigny. La Cité des artistes – Scof, expose. (Rhône)
2005 : Salon d’art contemporain – Dammarie – les – Lys (France). Trames et entrelacs.
2004 : MAPRA ( Rhône ). L’atelier alma s’expose.
2004 : 8e Salon d’automne de La Grande Motte – ( Hérault ).
2004 : Centre culturel le Toboggan, Décines (Rhône). Sudorient.
2003 : Fondation Bullukian, Lyon. Gravures et écrits.
2003 : 6ème triennale mondiale de l’Estampe petit format – Chamalières (France).
2003 : Centre d’art contemporain, Rethymno (Grèce). Oikade.
2001 : Technopolis, Athènes. Le mois des arts plastiques.
2000 : Biennale internationale d’estampes miniatures de Montréal. Miniare – XIII èmes Entretiens Jacques Cartier (Canada).
1999 : 3ème triennale internationale de Gravure – Gizeh (Egypte).
1999 : Les subsistances (Bac off +), Lyon. Parallèle à la 4ème biennale d’art contemporain de Lyon.
1998 : Espace Temple – Alès (Gard). Art-Alès 98.
1997 : Lyon, Athènes, Birmingham et Cheltenham (Grande Bretagne). Expo itinérante : La trace.
Originaire de Réthymno, Crète (Grèce) ; vit depuis 1996 en France, et depuis 2010 à la Cité d’artistes à Grigny – périphérie de Lyon.
L’exposition Eleni Pattakou, « Paysages industriels » galerie Ories. 2021
Une anthropologie matérielle et poétique de nos paysages industriels
D’emblée l’œuvre est là, qui frappe par sa force, et fascine. Fascination qui provient de ce détour que l’artiste a effectué pour éclairer, par la matérialité de la couleur, les thèmes de ses toiles, à savoir le décor industriel du sud de la ville, avec ses superstructures de métal et d’acier, ses vastes installations où se mêlent ateliers, entrepôts, docks et réservoirs, gares et quais, tours d’usines chimiques, torchères, paysages à la matérialité figée mais que des reflets sur les plans d’eau, ou les bords de fleuve irisent et viennent souvent animer. Dans un cadrage frontal les toiles structurées par des diagonales, des verticales, des lignes fuyantes, semblent exclure toute présence humaine, même si nous savons que ce sont bien nos démiurges contemporains qui ont édifié ces paysages saturés, en apparence délaissés.
Le détour, qui est vraiment la marque et la signature d’Eleni Pattakou, est celui de la coloriste qui utilise une palette expressionniste, mais sans la vision pessimiste, toute en contrastes délicats ou tranchés, en intensité et en dépouillement le figuratif tendant parfois vers l’abstraction. C’est également la marque de l’architecte qui joint à l’art de la composition une construction rigoureuse et mouvante à la fois de cet univers où abondent les formes géométriques, plans et volumes liés, mais qu’allègent souvent des volutes de vapeur ou que le ciel détache et capte dans des nuances de soleil couchant tout autant que de grisaille. Eclats et lueurs, ombres et scintillements, embrasements et masses fuligineuses circulent dans des perspectives d’aplats disposés comme si la couleur commandait le geste et guidait la vision poétique qu’il tente de saisir.
Le regard de l’artiste, à l’exception d’une vue du port du Pirée, hommage et rappel de ses origines grecques, s’est arrêté dans cet environnement, qu’elle avait à portée et qui l’inspire depuis plus de 17 ans. Ces lieux, entre le port Edouard Herriot et Givors, entre Pierre Bénite et Feyzin sont ceux que nous traversons habituellement en les ignorant, tant ils semblent associés et par expérience ils le sont, à la pollution, au bruit et aux odeurs méphitiques, à une inquiétante dureté. Mais en les observant et en les contemplant, travaillant soit à partir de photos en noir et blanc, soit en ravivant l’émotion in vivo elle en change la perception et les associe désormais à une forme de la beauté, non pas immédiate mais transfigurée par la captation d’une lumière, au-delà de leur réalisme, ou plutôt inscrite en eux et que seule la toile en accord avec la liberté d’un instantané est capable de faire sourdre. Elle nous invite à regarder : Il y a de la rouille, du délabrement, de l’abandon, en particulier dans ces ateliers où ne restent que des machines définitivement arrêtées, des murs aveugles, des chemins enserrés par des grillages qui semblent ne conduire que vers des zones vides ou des culs de sac, mais aussi , images sereines, des cargos ou des péniches aux lignes pures , captées au fil de l’eau et qui autorisent des palettes plus douces, car l’eau est toujours source de rêverie… et l’imagination réinvente souvent ces ambiances comme dans les deux toiles intitulées « Le Blanc » et « La nouvelle usine ».
Ces lieux ne sont donc pas inertes. Ils sont comme un corps drainé par toute une activité, une circulation, que l’on devine illustrée et suggérée par des lignes de chemin de fer, portant d’impressionnants wagons de marchandises qui dégagent dans leur fuite, une inquiétante et métallique puissance serpentine. Et toujours, planant au-dessus ou dans les interstices de ces scènes il y a la troublante beauté d’un ciel, même chargé de noires nuées que l’on pressent en marche, d’incroyables rougeoiements sur lesquels se détachent les hautes et fragiles cheminées, les pylônes électriques, les fumeroles des complexes chimiques saisis dans une semi pénombre, un voile de brouillard.. Et parfois peuvent surgir, dans un cadrage rapproché, la moire d’un repli du décor le plus banal, un pan de mur que la touche du pinceau est venue lustrer, le miroitement irisé d’une tuyauterie, l’ombre impressionniste et flottante dans un atelier déserté, comme celui des établissements Venivov à Vénissieux où l’artiste avait installé son chevalet.
Seule une petite partie des toiles industrielles est ici présentée, mais elles sont éloquentes et confèrent une grande unité au travail de l’artiste basé sur la mémoire des lieux intimement parcourus. Cette moisson de paysages et de couleurs est nourrie de sentiments et d’un lyrisme immédiat qui confèrent à l’ensemble de l’exposition son atmosphère si singulière. Celle-ci palpite dans un champ de tensions jamais assouvies grâce à un regard-loupe qui rend sensible le perceptif et nous montre ce que l’on ne regarde pas. Ne s’étant guère éloignée du lieu où elle vit et travaille, Eleni Pattakou met en mouvement, en se l’appropriant, l’univers qui l’entoure, physiquement et géographiquement ancré, aujourd’hui magnifié dans ses toiles.
On ne peut que se laisser envahir par une telle rencontre, une telle vision, véritable libération de l’espace peint, servie par une maîtrise souveraine de l’inspiration et de la narration de la réalité jusqu’ici négligée, de l’histoire industrielle de notre ville, revisitée par un total plaisir esthétique.
Frédérick Port-Levet
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Chronique de Guy Ferdinande, parue dans la revue : COMME UN TERRIER DANS L’IGLOO, numéro 92, du 1er septembre 2007. Ed. : REWIDIAGE.
Eleni Pattakou, crétoise d’origine, est peintre. Beaucoup d’artistes ne sont plus peintres aujourd’hui. Elle, si.
Elle peint des usines, toutes sortes d’usines et d’après ce que je peux en juger avec le catalogue que j’ai sous les yeux, presque uniquement des usines (à la fin il y a quand même un portrait de Georges Hassomeris, des têtes d’homme et un autoportrait).
Une peinture figurative ne manquant pas de puissance, puisqu’avec un tel sujet les tableaux ne requièrent pas d’avoir du charme, sauf à aller faire de la peinture sur chevalet dans les hauteurs de Vénissieux. Ce qui n’empêche pas que parmi les glossateurs il s’en trouve pour considérer « que cette vision « dantesque » rend ces cathédrales humaines » (fichtre !) ou « que le caractère ludique d’un graffiti au bas d’un tableau participe à la dédramatisation du paysage industriel ». Bon !… Nous ne devons pas avoir les mêmes yeux ! Ni le même nez.
L’odorat, par exemple, je le trouve sollicité à l’endroit des couleurs, ces rouge, ces jaune, ces rose… Pour nous qui d’Haubourdin à Saint-André avons respiré du Lever ou du Kulhman plus que de raison, je me souviens que ces odeurs qui nous prenaient à la gorge étaient associées aux jolies couleurs des fumées que crachaient les usines. Humaines et tout à fait ludiques, qu’ils disaient. Dans ces visions d’usines selon Eleni Pattakou, aucun ouvrier n’apparait -pas âme qui vive-, et pourtant elles fument, et pourtant le train roule. Il ne s’agit donc pas de carcasses datant d’un temps révolu mais bien d’usines en activité.
Les ouvriers ? Y en a-t-il même encore à l’intérieur en cette époque où l’automatisation a suppléé la plus grande partie des tâches ?
Autour de ces usines hermétiquement closes, pas d’environnement urbain non plus. Le sujet en fait abstraction autant que des hommes; il est traité en tant que tel pour ce que procurent ses propriétés plastiques, détaché de tout en-deçà et de tout au-delà. Et cette puissance de rétraction sur l’espèce de silence central qui émane de ces flancs ou de ces tuyères est bien ce qui rend cet univers si inquiétant, si hostile. L’usine ne noircit plus les fronts, elle n’érode plus les visages, ainsi que la peinture réaliste se serait jadis attachée à le représenter, elle ne suinte plus. Elle a pris place parmi les meubles. Elle a la positivité des menaces familières.
1. Film réalisé par Raymond Livrozet et Madray créations. 2015, 24 min.
2. Film de 3 min réalisé par « 1789 productions »
STAGES DESSIN/PEINTURE se renseigner *
COURS/STAGES de GRAVURE se renseigner *
Séances de modèle vivant 2 samedis par mois, de 14 à 17h
Atelier Eleni Pattakou – Scof Cité d’artistes – Grigny
www.pattakou.com rubrique : cours-stages
Contact eleni.pattakou@gmail.com, 0627933221
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Sessions « MODELE VIVANT »
les samedis après-midi, séances de 3h de 14h à 17h (pour 2h de pose modèle)
tarif : 25€, matériel compris
« GRAVIR DES CIMES … » Portes ouvertes de l’atelier d’Eleni Pattakou avec l’artiste invitée Martine Chambon
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Eglise St Pancrace de Bans, chemin du Fortunon, à Givors (69), du 16 septembre au 8 octobre 2023
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20 avril au 18 juin 2023
Fondation Renaud – Fort de Vaise – Lyon
REVELER L’INVISIBLE – les femmes s’exposent
Vernissage le jeudi 20 avril à 18h, sous confirmation de votre venue, jusqu’au 17 avril : invitation@fondation-renaud.fr
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23/02 au 31/03/2023
Théâtre le Sémaphore – rue de Boutan – 69540 Irigny
Vernissage le 23 février de 18h00 à 20h00
Ouverture de l’espace exposition, dans le hall du théâtre, du mardi au vendredi, de 9h-12h et de 14h à 17h,
sauf jours fériés où le théâtre est fermé.
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Exposition à l’atelier
11/12/13/ et 18/19/20 novembre 2022
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Exposition collective à la galerie ORIES – Lyon
au thème de la biennale d’art contemporain de Lyon
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29 septembre – 9 octobre 2022 – Biennale « Mare Nostrum »
à l’Estanco du Mont Cindre (69)
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Exposition à la galerie ORIES, 33 rue Auguste Comte, 69002 Lyon
du 11 février au 30 mai 2021
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2 artistes: Anya Belyat-Giunta et Eleni Pattakou vous accueillent en rendez-vous en Atelier le 5 et 6 décembre 2020 de 14h à 18h30.
Scof-cité d’artistes, à atelier Pattakou
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Eleni Pattakou participe à la biennale de « Bâtie en Art » à Saint Laurent d’Agny, au thème : « Avant la tempête »
Du 26 sept au 11 oct. 2020 sur 3 week-end
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ANNULE- REPORTE
Portes ouvertes exceptionnelles à SCOF Cité d’artistes à GRIGNY
Atelier Eleni Pattakou : du 20 mars au 5 avril 2020( sur 3 week-ends)
Anya BELYAT-GIUNTA, Eleni PATTAKOU & Michèle COSTA
vous invitent aux portes ouvertes -immersion en atelier
dessins / peintures / gravures
à l’atelier d’Eleni Pattakou (au 1er étage – entrée par le couloir commun des ateliers, sous le porche, 36 av Marcellin Berthelot) – parking public après le 7 de la rue des Faïenciers-
20, 21 et 22 mars, 28 et 29 mars, 04 et 05 avril 2020 de 14 à 18h30
Ouverture simultanée avec d’autres ateliers de la Scof www.scof-citedartistes.com tél : 06 27 93 32 21
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Du 13 septembre au 1er octobre 2019
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Au UPPER SIDE, 2 rue du professeur Rollet, (manufacture des Tabacs), nous sommes 6 amis artistes à vous inviter à notre expo, autour d’un verre et au son d’un concert. Vendredi 17 mai 2019 à partir de 18h30.
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Exposition à Gleizé dans le Beaujolais dans le cadre de la semaine sur la Grèce programme-se-2019-grece
PORTES OUVERTES DE L’ATELIER : 29,30,31 mars et 5,6,7 avril 2019
GAC – Groupe d’Art Contemporain
Annonay (Ardèche)
du 17 au 21 octobre 2018
RDV du GAC en duo avec Théodora VOURVOURI
Recontre avec les artistes autour d’une oeuvre.
Expérimentation d’une pièce en cours d’élaboration, exposition en présence des artistes.
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« Faites de l’art »
Dimanche 23 septembre de 10 à 18h
« Galerie à ciel ouvert », 69210 LENTILLY
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Valence – Romans AGGLO : « Chemin des peintres »
les 6 et 7 octobre 2018
Châteaudouble au Temple (Drôme -26)
« La rencontre des artistes » édition 16 – Exposition collective à Vernoux-en-Vivarais du 3 au 12 août 2018
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« Full metal figures » Eleni Pattakou, continue allegée de quelques metal-figures, jusqu’au 30 juillet. Les tableaux y resteront visibles jusqu’à fin août 2018.
Galerie IODDP – Ici on donne des pommes
Ioddp
6 rue St-Georges, 69005 Lyon
métro St Jean, (Vieux Lyon)
Horaires : du mercredi a.m. au dimanche
« Full metal figures » Eleni Pattakou
Galerie Ioddp – Ici on donne des pommes
Vernissage le 18 mai
Ioddp
6 rue St-Georges, 69005 Lyon
métro St Jean, (Vieux Lyon)
Horaires : du mercredi a.m. au dimanche
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à Saint-Etienne
Dans le cadre de la 6e Fête d’Estampe à Paris avec le soutien de l’Association des Amis d’Alfred-Georges Regner
www.regner.fr
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à Givors
L’association des Amis des Arts de Givors présente une exposition-vente d’estampes de graveuses et de graveurs de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Œuvres d’Olivier Brunot, de Pierrette Burtin Séraille, d’Yves Olry, de Jean-Pierre Pain, d’Eleni Pattakou, de Laurence Clair, de Michelle Costa.
Ateliers « découverte du monotype », samedi 26 mai, de 14h30 à 18h et dimanche 27 mai, de 10h à 12h, avec Eleni Pattakou et Olivier Brunot.
Entrée libre
Participation au Salon de Lyon et Sud-Est
La ville autrement, Fort de Vaise
Galerie Test du Bailler, Vienne (Isère)
1.
Projection du film de Raymond Livrozet sur Eleni Pattakou au fort de Vaise, 21 mai 2015:
Invitée d’honneur
36ème salon – association des peintres de Brignais
au BRISCOPE, Parc de l’Hôtel de ville – 69530 Brignais (Rhône).
Soirée rencontre avec l’invitée d’honneur le vendredi 7 février 2014 à 20h30
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